L’année 2016 se terminera bientôt et nous sommes pour la plupart dans nos préparatifs du temps des Fêtes. Malgré tout, nous avons quelques informations à vous partager dans le cadre de cet Info SFFQ.
Avant tout, je tiens à préciser qu’il s’agira du dernier Info SFFQ que je rédigerai pour la République du Centaure. Ma demande de clonage ayant été refusée dernièrement (je ne demandais presque rien, trois ou quatre clones en bon état, je me serais même contentée d’un seul à la limite), j’ai dû me rendre à l’évidence : il n’est pas possible de tout faire dans la vie, on doit parfois faire des choix (même s’ils s’avèrent cruels). Je tiens à remercier toutes les personnes qui m’ont aidée à mettre sur pied et à livrer les Info SFFQ au fil des derniers mois. Au moment d’écrire ces lignes, j’ignore si mon initiative sera reprise par quelqu’un d’autre (sous cette forme ou une forme différente), mais je vous invite à écrire à Alain Ducharme si vous avez de l’aide à proposer en ce sens.
Maintenant, voyons les nouvelles récentes pour l’Info SFFQ (pour les Info SFFQ précédents, consulter la section « Article ») :
DISCUSSION EN COURS
Plusieurs d’entre vous ont sûrement vu passer la discussion en cours actuellement, à propos du prix Jacques-Brossard. Si ce n’est pas le cas, vous pourrez en prendre connaissance ici, puis lire le billet de Jean-Louis Trudel sur le même sujet. Des interventions pertinentes (que l’on soit d’accord ou non avec les arguments énoncés par les divers intervenants). À lire!
APPELS À TEXTES
Le Sabord
Voici 2 appels à textes qui ont été annoncés récemment par Le Sabord :
Thème : Écho (date limite : 15 février 2017) : « Décrivez-nous ce phénomène qui réverbère les ondes sur le monde et les obstacles que les murs du son et du sensible rencontrent parfois. Ces traces fugitives, en filigrane, laissées par les gens, les souvenirs dont il ne subsiste que des résonances imprécises. Intéressez-vous à la transmission, aux répercussions des difficultés de communication qui jalonnent l’existence. Ou encore, célébrez les bruissements et les chuchotements, les sonorités assourdies par la distance. À moins d’explorer les clameurs des voix quasi inaudibles ou l’harmonie de la musique feutrée, de l’acoustique. »
Thème : Silence (date limite : 15 juin 2017) : « Dépeignez les non-dits et le mutisme qui s’impose de temps à autre dans l’existence. Intéressez-vous au silence et à ses symboles, notamment en musique (la pause, le soupir, etc.). À l’absence de bruit absolue et à ses conséquences, au silence définitif de la mort, à l’aphasie. Révélez les secrets que l’on tait, les confessions et les conspirations qui, souvent, se terrent dans le clandestin. Décrivez la solitude de la parole disparue, le règne de l’indicible et des cris muets. Plongez dans une retraite où le silence est maître, dans le recueillement par-delà les murmures. Honorez la surdité, ce qui se cache derrière le vacarme. »
Le coin des appels à textes
Je suis tombée sur une page Facebook intitulée Le coin des appels à textes. On ne sait jamais, vous pourriez y trouver des cibles supplémentaires pour vos manuscrits!
LA MAISON DES VISCÈRES
La Maison des viscères a annoncé récemment la réimpression d’Agonies (l’une de ses anthologies d’horreur, avec des textes de Jonathan Reynolds, Ariane Gélinas et Pierre-Luc Lafrance). Vous pouvez dès maintenant acheter votre exemplaire.
De plus, on nous indique que si vous profitez de l’occasion pour acheter les 4 anthologies de La Maison des viscères, vous recevrez l’édition limitée de Exodes (au lieu de l’édition régulière) de même qu’un livre de Les Six Brumes en prime. (Offre valide jusqu’à épuisement des stocks.)
SOUHAITS DE FIN D’ANNÉE
La République du Centaure, de même que ses partenaires et collaborateurs, se joignent à moi pour vous souhaiter de TRÈS JOYEUSES FÊTES (et, pour ceux qui sont chanceux, un long congé reposant et inspirant!). Que l’année 2017 vous apporte son lot de joies, de projets et de réussites. Santé, amour, prospérité!
Voilà, c’est ainsi que se termine pour moi l’aventure de l’Info SFFQ. C’est avec un petit pincement au coeur, bien sûr, que je termine ce billet… mais d’autres aventures m’attendent. Et je suis certaine que l’information trouvera le moyen de circuler tout de même, d’une façon ou d’une autre, au sein de notre beau milieu de la SFFQ.
Au revoir!