Éditorial: Foire aux questions

Puisque la République du Centaure en est encore à ses débuts, ce mois-ci je profiterai de cet espace pour détailler certains aspects de son fonctionnement.

Je débute avec un rappel important: ne nous envoyez pas de manuscrits. À l’heure actuelle, la République du Centaure se consacre à republier des textes déjà existants. Nous n’avons pas les ressources pour lire des textes non sollicités et effectuer la direction littéraire nécessaire à leur publication; de plus, cela ne constitue pas notre mandat.

Une question mérite d’être posée: à qui s’adressent les textes que nous présentons? La République du Centaure vise avant tout à rejoindre un public adulte. Cependant, à défaut d’indications contraires, notre contenu peut être lu et apprécié par de plus jeunes lecteurs. D’ailleurs, certains des textes que nous publierons dans la prochaine année sont déjà à l’étude dans des cours de français ou de littérature.

N’oubliez par contre pas que même si nous offrons ces textes gratuitement, ils appartiennent toujours à leurs auteurs et sont couverts par les protections légales habituelles. Nous vous encourageons à partager des liens vers notre contenu (il a été prouvé scientifiquement que chaque fois que l’on parle de la République du Centaure dans les médias sociaux, quelque part dans le monde un bébé chaton est sauvé d’une mort atroce), mais il n’est pas permis de le redistribuer en ligne ou sur papier – et encore moins d’essayer d’en tirer profit.

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La nouvelle que nous vous proposons ce mois-ci provient d’une jeune auteure de la relève. En effet, « Instant » a été publiée pour la première fois en 1985, dans les débuts de la carrière d’écrivaine de Francine Pelletier. Par la suite, Francine Pelletier a plus que dépassé les promesses livrées par ses premiers textes; elle est devenue l’une des plumes les plus sensibles et affinées du milieu de la science-fiction québécois.

« Instant » s’inscrit dans un univers adroitement décrit et cohérent, que l’auteure a développée à travers nouvelles et romans. Bonne lecture.