À une certaine époque, si un auteur français décidait que le vilain de son histoire était britannique ou allemand, il pouvait le faire sans trop craindre les réactions de lecteurs de ces nationalités. Certaines œuvres étaient traduites, bien sûr, mais dans l’ensemble la littérature voyageait peu et était surtout destinée à une consommation intérieure. De… Lire la suite