Éditorial: Cinquante cadeaux à partager

Un fait intéressant que j’ai découvert en préparant cet éditorial : la nouvelle que nous publierons dans deux semaines sera le cinquantième texte de fiction qui paraîtra à la République du Centaure.

Cinquante. Ça fait pas mal de fiction ça. De quoi remplir plusieurs soirées de lecture.

Tous ces textes resteront disponibles tant et aussi longtemps qu’existera notre magazine. C’était l’objectif initial de la République du Centaure: construire au fil des années un corpus d’œuvres représentant les diverses facettes des littératures de l’imaginaire québécoises.

Avec le temps notre mission s’est diversifiée. Luc Dagenais tient la barre des bulletins Info-SFFQ, qui présentent chaque mois l’actualité du milieu (et dont le contenu est ouvert à la communauté – si vous avez des projets à annoncer, envoyez l’information à Luc!). La section article, dirigée par Pascale Laplante-Dubé, offre des essais fouillés et continuera de croître dans la prochaine année.

Tout ce contenu est disponible gratuitement. Et vous savez quoi? Je ne crois pas que la République a développé son lectorat à son plein potentiel.

Et pour cela, nous avons besoin de vous, fidèles lecteurs.

Vous avez aimé une de nos publications? Partagez-la. Discutez-en sur les médias sociaux. Bloguez sur son contenu. Tout cela fait connaître la République du Centaure à un plus vaste public. Chaque commentaire, chaque lien compte.

Il y a présentement 49 textes de fictions dans nos archives. De la science-fiction, du fantastique, de la fantasy, de l’horreur. Des récits du 19ième siècle et des fictions inédites. Une histoire de coming out signée Élisabeth Vonarburg. Un conte de Noël. Certaines des meilleures nouvelles du regretté Joël Champetier. Un feuilleton steampunk. Et de nombreux textes inclassables et uniques.

Je vais m’arrêter avant de les nommer tous.

Il doit bien avoir un de ces textes que vous aimeriez faire découvrir autour de vous. Que vous preniez quelques instants pour le faire nous serait d’une grande aide. Aujourd’hui même, ou le 24 autour de la dinde de Noël. Dans les deux cas, merci à l’avance.